En effet, même si les résultats ne sont pas là, même si les actes ne sont pas au rendez-vous, le langage a légèrement changé : on parle de compétitivité, on parle de l’entreprise.
Je souscris aux propos de Mme Bricq : à présent, il va falloir choisir.
En réalité, en matière de réformes, certains membres de ce gouvernement ont le pied sur le frein et les autres appuient sur l’accélérateur. Avec ce type de conduite, on court droit au tête-à-queue ! Aussi va-t-il falloir prendre franchement le parti des réformes, en faveur des entreprises : il va falloir baisser la fiscalité, peut-être envisager la flat tax. Notre pays exige des réformes audacieuses !
Monsieur le secrétaire d’État, vous êtes le troisième titulaire du portefeuille du budget en deux ans. §