Pourquoi refuser le volontariat à des personnes en situation régulière, qui disposent non pas d'un simple visa touristique mais d'un permis de travail ou d'un permis de séjour, quelle qu'en soit la durée ?
Si des jeunes d'un pays non européen manifestent la volonté d'adhérer au programme de volontariat d'une association afin de venir en aide à la France en cas de marée noire en Bretagne, par exemple - ou pour une mission archéologique : je ne veux pas parler que de catastrophes -, pourquoi le leur refuser ?
Monsieur le ministre, je vous appelle à faire preuve de cet optimisme auquel vous nous avez invité tout à l'heure, tant à l'égard des associations que des citoyens, même lorsque ces derniers sont d'origine extracommunautaire !