Tels sont les éléments du débat d’aujourd'hui. On peut être pour, on peut être contre, on peut vouloir plus, mais nous, nous faisons cet effort, y compris dans le budget de l’État, en respectant les priorités fondamentales qui sont les nôtres.
Nous le faisons en respectant la priorité donnée à la jeunesse, c'est-à-dire à l’éducation nationale, en respectant la priorité donnée à la sécurité, c'est-à-dire à la justice, à la police, à la gendarmerie, en respectant donc les grandes priorités qui sont les nôtres, notamment en termes de présence et de capacité d’engagement de la France et de son armée là où il est nécessaire qu’elle soit présente. Voilà les réalités.
Certes, cela demande plus d’efforts à certains ministères qu’à d’autres. Mais c’est cela aussi gouverner : c’est faire des choix, vous les présenter, en vous demandant de bien vouloir les adopter.