Nous pouvons tous nous retrouver sur ce texte. Le Sénat et tout particulièrement notre commission ont bien travaillé : évitons les faux débats entre nous.
Je veux revenir sur le débat qui a eu lieu entre Roland Courteau et Jean-Claude Lenoir : en première lecture, nous sommes partis du principe « qui trop embrasse mal étreint ». L'histoire du vin se confond avec celle de notre pays et j'aurais préféré que l'Assemblée nationale nous suive. Dès lors qu'elle a ouvert le dispositif à d'autres produits, nous ne pouvons revenir en arrière. Ce serait mal compris les élus et de professionnels de notre pays.