Nous comptons travailler avec le COMES, le BRGM, et nous rendre au laboratoire de l'Institut de chimie de Paris, à l'usine de séparation de terres rares de La Rochelle, à l'usine d'Eramet à Sandouville, et enfin à Marcoule, au CEA. Nous souhaiterions aller au Japon et en Chine, en Suède et en Finlande ; ainsi qu'en Allemagne et en Belgique.
Pour conclure, nous proposerons que l'OPECST modifie l'intitulé de cette étude qui s'appellerait dorénavant : « Les terres rares et les matières premières stratégiques et critiques ».
Un débat a suivi les exposés des rapporteurs.