Une autre partie de votre question portait sur les contraintes supplémentaires imposées par le passage au niveau trois, en regard de celles existant au niveau deux. Le niveau trois s'avère plus contraignant sur le plan des travaux à réaliser pour mettre en oeuvre la réversibilité. Néanmoins, il apparaît moins astreignant du point de vue du processus de décision et de l'exercice de la sûreté active. Dans l'exemple des déchets MAVL, si les alvéoles restent ouverts, il sera ainsi nécessaire de les ventiler, donc d'entretenir des dispositifs de ventilation, de surveillance, de filtration de l'air, etc.