Mesdames, Messieurs, je remercie ceux qui ont posé des questions... et ceux qui n'en ont pas posé. Contraint de respecter des limites de temps, je ne pourrai répondre à chacun en détail, mais nous aurons cependant l'occasion de nous revoir.
M. Fillon a bien voulu prononcer des paroles positives et aimables sur l'action du gouvernement français en Irak et je l'en remercie, comme tous ceux qui ont fait de même. C'est important : pour que nous soyons forts, nous devons être en effet unis. Je vous avoue que je m'étais interrogé en découvrant, dans un article d'un grand journal du soir, une appréciation que je n'avais pas perçue comme une approbation franche et massive, dans la mesure où elle parlait en conclusion d'un « déshonneur pour la France ».