Il est important, monsieur le ministre, que nous puissions avancer. Nous demandons donc au Gouvernement de presser le pas.
Enfin, les ressources de la défense doivent être au rendez-vous.
À mon ami André Trillard, membre de la commission que j’ai l’honneur de présider pour quelques jours encore, je dirai avec beaucoup de cordialité qu’il convient d’être prudent lorsque l’on s’exprime sur le budget de la défense et ses contours. Posez-vous toujours la question que je me pose lorsque d’autres que les représentants de l’actuelle majorité gouvernent notre pays : si nous avions à faire face à cette situation, aurions-nous fait mieux ?