Mes chers collègues, je voudrais tout d’abord, en votre nom à tous, remercier le doyen de notre assemblée, Paul Vergès, sénateur de La Réunion, d’avoir présidé notre assemblée, mais aussi le remercier de ses propos sur le défi démographique, la mondialisation. En choisissant l’exemple de La Réunion, il nous a montré l’importance de l’outre-mer dans notre pays et pour la République. §Notre collègue évoquait en outre, dans ses propos conclusifs, la confiance en une nouvelle civilisation ; c’est aussi ce que nous avons la responsabilité collective de construire tous ensemble.
Je veux ensuite saluer le président Bel, que je m’apprête à retrouver au Petit Luxembourg.
Jean-Pierre Bel fut le premier président socialiste de notre assemblée sous la Ve République, signe que l’alternance est une réalité au Sénat. Au moment où il décide de quitter la vie politique, je voudrais saluer sa fidélité à ses convictions, des convictions enracinées dans son histoire personnelle et dans ses choix politiques, et lui souhaiter le meilleur pour la vie qui l’attend.