Oui, mais par rapport à 2010 et à 2011 ; pas uniquement par rapport à 2012 et à 2013 ! Vous le savez, si l’on examine le passé de façon équitable, les responsabilités sont partagées : 30 milliards d’euros de hausses d’impôts pour les uns, 30 milliards d’euros pour les autres !
Quoi qu’il en soit, il fallait s’arrêter là. D’ailleurs, s’il suffisait de conjuguer un taux de prélèvements obligatoires très élevé et une dépense publique très élevée pour obtenir une croissance très élevée, nous serions les champions d’Europe !