M. Christian Eckert, secrétaire d'État. Monsieur Bouvard, puisque nous nous retrouvons ici après avoir souvent travaillé ensemble dans d’autres enceintes, j’en profite pour saluer non seulement votre présence, mais également l’humilité et la pertinence de votre intervention. Je l’ai déjà dit, il ne m’appartient pas de distribuer ici de bonnes ou de mauvaises notes, mais j’ai retrouvé la constance et l’esprit constructif que j’avais déjà connus ailleurs.