Les études peuvent être confiées à des cabinets, mais cela est onéreux et nécessite un budget ; elles peuvent aussi être demandées aux services : la Direction générale des douanes et droits indirects s'en charge déjà, comme FranceAgriMer ou l'Odeadom. Nous préférons néanmoins disposer d'études financées par l'Union européenne, et nous l'obtenons en insistant, comme pour la refonte du POSEI.