L'Europe devrait nous aider à pénétrer le marché des autres Antilles, anglophones, hispanophones, qui ont des negative lists. Notre diplomatie locale tente en vain de nous ouvrir ces marchés naturels, dont le mode de vie est comparable au nôtre. Lorsqu'il y a des difficultés entre les marins pêcheurs martiniquais et ceux de Sainte-Lucie ou de la Dominique - ils n'ont pas de GPS en mer -, les bateaux sont arraisonnés et saisis, et les pêcheurs emprisonnés, et il faut alerter l'Europe pour régler la question...