Une succession d'incidents et de catastrophes a rendu, en effet, très difficile l'identification d'une base de référence contre laquelle évaluer l'impact des accords commerciaux. Je vous rappellerai les cyclones Dean en 2007, Thomas en 2001 et Chantal en 2013, sans parler des cendres projetées par le volcan de Montserrat et des maladies qui ont frappé des plantations en 2011 et 2012.