La France est devenue en soixante-dix ans un pays de locataires. Avant la guerre, tous les Français, ou presque, étaient propriétaires, y compris parmi les classes populaires. Cette évolution n'est pas sans incidence sur le plan financier et social, notamment pour les plus fragiles de nos concitoyens. Y a-t-il un intérêt à inverser la tendance ? La question mérite à mon sens d'être posée. J'ai commencé à travailler sur ce sujet il y a quatre ans environ et j'espère pouvoir approfondir la réflexion.