… qui réécrit un peu l’histoire à sa façon.
Je pense qu’il y avait effectivement à l’origine du FPIC une volonté de solidarité entre les communes. Je ne remets pas en cause le principe de cette péréquation et je partage cette volonté. Mais les anomalies décrites par notre collègue Jean-Claude Boulard sont réelles et posent vraiment question.
Surtout, le contexte actuel n’est plus celui dans lequel a été créé ce fonds de péréquation. §