Je rappelle à M. le rapporteur qu'il s'agit d'un amendement déposé non pas par Mme Létard mais par la commission des affaires sociales. Je suis fort étonné que l'on ne prenne pas en compte, dans cet hémicycle, l'avis de ladite commission sur un sujet comme celui dont nous traitons et que l'on n'essaie pas de comprendre les motivations de nos collègues qui siègent au sein de cette commission.
Je suis doublement surpris, car M. le rapporteur est d'habitude toujours prêt à batailler pour défendre le Sénat. Or, en l'occurrence, il s'apprête à laisser à nos amis députés le soin d'enrichir ce projet de loi.