Comment articulez-vous le travail de l'Agence de biomédecine entre les collèges d'experts et ceux de citoyens, sans pour autant tomber dans le piège de l'alibi de la démocratie sanitaire, à l'instar de certaines conférences de territoire organisées dans le passé par les agences régionales de santé (ARS). En outre, comment l'Agence aborde-t-elle les questions sensibles que sont la PMA et la GPA ?