M. Albéric de Montgolfier, rapporteur général de la commission des finances. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, l’examen du projet de loi de financesrectificative est effectivement encore tout frais dans nos mémoires. Je m’efforcerai donc, à l’instar de M. le secrétaire d’État, d’être très synthétique.