À ce stade de la discussion, je ne reviendrai pas sur les arguments économiques et écologiques qui nous poussent à considérer qu’attribuer plus de 40 milliards d’euros aux entreprises sans critères ni contreparties, le tout étant financé par les ménages et les services publics, n’est pas un bon choix politique.
J’aimerais plutôt clore cette séquence budgétaire par un petit commentaire sur la marge de manœuvre qui est laissée aux parlementaires. J’ai déjà évoqué, à propos du projet de loi de finances rectificative pour 2014, la question du calendrier...