Je rappelle que des parlementaires siègent au conseil d'administration de l'AFD, c'est à eux d'intervenir. En outre, le ministère des affaires étrangères tient au principe des aides déliées, donc la nationalité des entreprises ne peut être un critère dans les appels d'offres lancés au niveau mondial avec l'aide de la banque mondiale. Ce problème est connu, ne nous perdons pas.