Nous ne disposons pas de données très précises sur l'évaluation du coût du rattachement. Le ministère des affaires étrangères part probablement de l'expérience du rattachement des assistants techniques à l'Agence Française de développement qui a entraîné des charges supplémentaires notamment en raison du changement du régime d'assurance sociale. Mais il faut examiner aussi la possibilité de financer une partie via les fonds de roulement ou par la mise en place de dispositifs autres comme ceux mis en oeuvre par l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) pour les professeurs résidents. Il faut aussi avoir une politique vis-à-vis des agents de droit local qui, en raison des contraintes budgétaires, interviennent de plus en plus dans nos instituts, y compris dans des fonctions d'encadrement et non plus seulement d'exécution. Ils ont été recrutés sur des fonctions, et nous devons accompagner leur montée en compétence.