Vous semblez préconiser une coopération renforcée avec nos amis allemands, mais c'est très difficile de cerner ce qu'ils veulent faire. Nous avons créé avec eux une brigade, mais elle ne sert à rien et on ne peut pas l'utiliser. Chaque fois que l'on fait un programme, ils ne sont intéressés que par le retour industriel, ce qui peut parfois « planter » le programme car ils s'efforcent d'acquérir des compétences qu'ils n'ont pas forcément. Avec nos amis britanniques, c'est un peu le contraire, nous nous entendons très bien sur le volet opérationnel, mais en matière industrielle, il n'y a pas grand-chose.