Les Français et les Britanniques sont en relations étroites pour élaborer une proposition aux États-Unis permettant de relancer le processus de paix israélo-palestinien. S'il y a une réserve de notre position, elle correspond à une volonté de ne pas remettre en cause une éventuelle accélération du processus.
Sur les conséquences financières pour l'ONU du vote reconnaissant le statut d'Etat non-membre à la Palestine, les propos de la représentante permanente adjointe américaine, Mme di Carlo, ne sont qu'à moitié rassurants puisque rien n'est sûr en droit. Il est évident que l'arrêt du financement américain à l'ONU créerait d'énormes difficultés.