Même si ces amendements peuvent paraître très intéressants, surtout pour le développement des transports dits « doux » – bien que le covoiturage n’en fasse pas partie –, je partage les arguments qui ont été avancés et par M. le rapporteur général et par M. le ministre sur la difficulté de mettre en œuvre une disposition qui irait dans ce sens et relèverait de la loi. Il est toujours possible, pour l’employeur, de favoriser ce type de déplacements, qu’il s’agisse de la bicyclette ou du covoiturage.
Alors que nous avons débattu, la semaine dernière, de la nécessité d’une simplification, aussi bien pour les institutions que pour les entreprises et les particuliers, il serait dommage qu’en adoptant ces amendements nous compliquions davantage la vie de l’employeur comme celle du salarié.