Il est logique d'avoir 80 licences de mathématiques, avoir autant de MOOCs en mathématiques n'aurait pas de sens. Il reste vrai que l'ensemble des champs n'est pas couvert. Cela dépend des technologies, de l'appétence, de la volonté. Le ministère accompagne le mouvement pour une offre plus large et en particulier concernant la formation tout au long de la vie, qui intéresse beaucoup les employeurs. Au-delà des MOOCs, il ne faut pas rater cette transformation numérique pour se positionner dans le concert international des universités et mieux accompagner la réussite des étudiants.