Il faut effectivement que nous soyons attentifs à la baisse des crédits alloués à Atout France, compte tenu de l'effet de levier que ceux-ci exercent, dans le contexte d'une concurrence de plus en plus vive. Il faudrait pouvoir lui attribuer des moyens équivalents à ceux qu'y consacrent nos concurrents. Je suis convaincu qu'il existe une forte demande de présence française de par le monde. Nous y répondons par notre réseau ainsi que par celui des alliances françaises, dont je rappelle qu'elles ont été au XIXe siècle la première manifestation de l'utilisation de la culture au service de la diplomatie d'influence. Pourtant, si notre implantation est encore importante, nos services manquent de moyens. Il faudrait que nous puissions nous rendre compte sur place des effets de cette situation.