La privatisation ne pose pas de problème : elle est simplement imposée par le rapprochement à égalité et il ne s'agit pas d'une industrie de souveraineté. Il y aura bien une action spécifique pour l'Etat, essentiellement pour les munitions, qui relèvent, elles, de la souveraineté. Notre commission ne sera pas saisie pour avis du projet de loi « Macron », puisqu'il y a une commission spéciale, où notre collègue Jean-Pierre Masseret nous représentera et suivra les articles relatifs à ce projet « KANT », en entendant si besoin les parties prenantes. J'ajoute, Madame Demessine, que nous avons rencontré les syndicats à l'Assemblée nationale et qu'ils savent fort bien communiquer avec nous.