Mon premier amendement à la loi de programmation militaire avait été de rendre privatisable, notamment, Nexter, pour dégager des marges. Si les négociations n'aboutissent pas, il n'y aura pas de privatisation. Il faudra suivre aussi les débats sur l'article additionnel introduit par le Gouvernement avant l'article 50 du projet de loi « Macron », sur les sociétés de projet, chères au ministre de la défense, qui entend financer ainsi les 2,2 milliards d'euros de ressources exceptionnelles, prévues pour 2015, qui ne pourront pas provenir des cessions de fréquences hertziennes.