Monsieur le ministre, je buvais du petit lait en vous écoutant. Vous risquez d'être surpris lors des débats au Parlement, car vous aurez plus de soutien sur nos bancs que sur ceux de votre camp... Vous vous attaquez aux corporatismes, dites-vous ? Plutôt à votre propre majorité !
Sur l'ouverture du capital des entreprises, j'espère que vous ferez preuve d'esprit d'initiative et que vous irez loin. Cette réforme doit profiter à ceux qui prennent des risques, et à l'ensemble des salariés. C'est la seule manière d'aider toutes les entreprises, sans distinction. Sur ce point, nous vous soutiendrons. Pourriez-vous nous apporter des précisions sur ce sujet ?