Mais à chacun de savoir ce qu’il souhaite et de prendre ses responsabilités ! Si des groupes parlementaires veulent proposer un autre candidat, qu’ils le fassent ! Il s’agit là d’une question non pas de calendrier, mais de volonté politique. Je comprends parfaitement que l’on puisse être pour ou contre M. Barroso – c’est la liberté démocratique de chacun –, mais que les opposants à cette candidature en proposent une autre et respectent la volonté des eurodéputés de s’exprimer dès les 14 et 15 juillet prochains sur la nomination du président !
Ensuite, nous avons choisi d’opter demain et après-demain pour une décision politique, et non pas juridique. N’y voyez là aucun geste de défiance à l’égard de M. Barroso, puisque nous le soutenons sans ambiguïté, ainsi que l’a annoncé le Président de la République. C’est une marque de respect à l’égard des parlementaires européens.