Je le maintiens pour deux raisons.
La première, c’est que, dans la situation économique actuelle, l’urgence commande.
La seconde, c’est qu’aucun des amendements que j’ai déposés n’a été accepté par le Gouvernement, qui m’a systématiquement demandé de les retirer, y compris ceux pour lesquels les collaborateurs de Mme la ministre m’avaient laissé espérer un avis favorable ou de sagesse. J’ai une overdose de demandes de retrait, madame la ministre !