Je vous remercie, monsieur le président, et partage votre souhait. Le contexte dramatique créé par les attentats de Paris et de Copenhague donne aux principes de liberté de la presse, de liberté d'expression et de pluralisme des médias, que la proposition de loi tend à conforter, une résonnance exceptionnelle. Je veux à cet égard saluer la grande qualité des propositions initiales de M. Michel Françaix, des travaux de l'Assemblée et de ceux du Sénat, qui, dans un climat constructif et consensuel, ont considérablement enrichi le texte dont nous débattons aujourd'hui.