Monsieur de Mistura, vous avez serré la main à des personnages peu recommandables. Seriez-vous prêt à rencontrer des personnes appartenant à Daech ? Peut-être faudra-t-il un jour négocier avec eux...
Par ailleurs, j'ai beaucoup apprécié l'expression d'« Ebola politique » que vous avez employée. On a appris hier que le virus décroît désormais, grâce à l'intervention massive de la communauté internationale. Celle-ci, en Syrie, ne peut-elle s'engager davantage politiquement, sous l'égide de l'ONU ? N'est-ce pas nécessaire si l'on veut régler le conflit ? Un espoir est-il encore possible ?