Madame la secrétaire d’État, je vous remercie d’avoir développé tous les aspects de la question. Nous devons les connaître si nous voulons que notre mobilisation aboutisse à des actions concrètes contre ces excisions.
Vous avez évoqué le renforcement de la législation et de la prévention. Ce second point est important, car il nous faut agir sur tous les fronts, aussi bien législatif qu’éducatif et associatif. À cet égard, les associations, surtout grâce aux jumelages existants entre des communes françaises et africaines, permettent de mettre à jour ces pratiques et d’éduquer les femmes. Dans mon département, à Quimperlé, l’Association Marche En Corps réalise un vrai travail de sensibilisation et d’éducation en la matière.
Madame la secrétaire d’État, je vous remercie infiniment de votre action. Il faut continuer en ce sens.