Monsieur le secrétaire d’État, je suis très heureuse de l’attention que M. le ministre de l’agriculture accorde au frelon asiatique, un problème loin d’être anodin et dont les enjeux sanitaires sont majeurs. Il est bon que M. Le Fol ait lancé plusieurs études, mais la question du financement pour les particuliers demeure. Tant que la destruction des nids sur les propriétés des particuliers ne sera pas prise en charge par l’État, la prolifération du frelon asiatique ne pourra pas être endiguée.
Je connais l’imagination des femmes et des hommes politiques, et je ne voudrais pas que le frelon asiatique donne lieu à un nouveau transfert de charges de l’État vers nos collectivités !