Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, il semble que les influences que l’on n’arrive pas à discerner soient les plus puissantes. À défaut de pouvoir les saisir, il est possible de les deviner grâce aux indices qu’un récent déplacement en Uruguay m’a permis de retrouver ; je désire vous les faire partager.
À suivre l’image que ce pays nous renvoie de l’influence française, celle-ci – je le dis non sans humour – s’exercerait au travers du béret basque, de l’imprimante 3D et de la loi de séparation de 1905.