Selon les départements, les histoires sont différentes. La situation décrite par mon ami Philippe Adnot n’est pas du tout la même que celle que je peux connaître dans la Haute-Vienne : nous avons seulement une trentaine de centres et 800 volontaires, alors que, si j’ai bien compris, dans le sien, il y a pléthore de centres et 2 500 volontaires…