M. Thierry Braillard, secrétaire d'État. Si le Gouvernement souscrit aux finalités de cette proposition de loi, reconnaît l’intérêt d’un assouplissement des textes en vigueur et approuve certaines des modifications introduites par votre commission des lois, il estime que le texte, en son état actuel, ne permet pas d’apporter toutes les garanties nécessaires aux futurs époux. D’où son avis de sagesse bienveillante.