J'appuie les propos de notre collègue Jacques Gautier. Votre action est retardée alors qu'il y a urgence et que les coûts en cause sont relativement modestes.
Général Grégoire de Saint-Quentin. - Il y a un réel « appel » pour les forces spéciales aujourd'hui et nous sommes très soutenus. Nous avons là une véritable opportunité pour mettre en place une organisation qui puisse fonctionner aisément ensuite.
Aucune organisation internationale n'a clairement défini la notion de terrorisme. Cela est-il problématique pour vos hommes et pour votre action ? Par ailleurs, la cyberdéfense fait-elle partie de vos théâtres d'opérations ?