Il semblerait étrange qu'à moyen terme la politique menée n'ait pas d'effets sur les prix de l'immobilier.
Ces effets-là sont recherchés dans des pays comme les États-Unis, où les ménages peuvent récupérer l'argent issu de la hausse du prix de leurs biens immobiliers, tandis qu'en Europe, où les contrats de prêt sont beaucoup plus contraignants, ce mécanisme de récupération qui permet de relancer la demande n'existe pas.
Concernant la Suisse, celle-ci a fait le choix de ne pas laisser sa monnaie arrimée à l'euro, ce qui est clairement lié au Quantitative Easing européen.