En ce qui concerne l'augmentation des tarifs de stationnement, nous n'avons pas été consultés. En revanche, nous rencontrons souvent les parlementaires sur les sujets auxquels nous nous intéressons, comme la sécurité routière ou la pollution.
Je souhaiterais souligner que la fiscalité automobile est déjà très lourde. La taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) représentent, à elles seules, 35 milliards de recettes fiscales pour l'État. L'automobile, outil de liberté par ailleurs indispensable dans l'accès à l'emploi, est déjà lourdement imposée. On ne peut pas taxer l'automobiliste indéfiniment.