Je suis pour ma part favorable à cet amendement qui met en lumière la difficulté d'identifier, derrière l'origine affichée « made in France », la part du produit textile produite en France. On voit, en particulier dans le secteur textile, des produits estampillés « made in France » lorsque la dernière « transformation substantielle » a été accomplie sur le territoire alors même que l'essentiel de la valeur ajoutée n'a pas été réalisé en France.