Mes propos ne seront peut-être pas politiquement corrects…
Cet amendement pose de nouveau la question de la transparence, dont je suis tout à fait partisane. À cet égard, notre assemblée a donné des gages sérieux. Toutefois, il est aussi de notre responsabilité de poser certaines limites. Sinon, les exigences ne peuvent que s’accroître.
Chère collègue Corinne Bouchoux, nous ne travaillons pas pour alimenter les réseaux sociaux ! Nous avons la responsabilité d’organiser sérieusement nos travaux. De ce point de vue, l’argumentation développée par Alain Richard et reprise par Jean-Claude Lenoir est tout à fait solide.
Veillons à poser nos propres limites face à des exigences de transparence qui seront de toute façon sans limite !