Si la réponse ministérielle est insuffisante, le parlementaire aura la possibilité de souligner publiquement ces manques. Il n’y a pas d’obligation : si la réponse ministérielle le satisfait, le parlementaire peut s’abstenir de reprendre la parole ou se contenter de saluer la qualité du dialogue. Il s’agit pour nous d’obtenir la meilleure considération pour les questions légitimes que nous posons.