Je rappelle que l'éventualité d'une réduction de l'indemnité parlementaire n'interviendrait qu'au-delà de 50 % d'absence aux réunions de commission du mercredi matin. Mes chers collègues, à vous voir si nombreux tous les mercredis depuis le mois d'octobre, je ne doute pas que notre commission ne sera que très faiblement impactée par cette mesure ! À mon sens, la tâche la plus vraisemblablement difficile incombera au président de séance lorsqu'il devra faire respecter les nouvelles durées de temps de parole sur les amendements !