La difficulté de l'appréciation de nos évaluations, c'est que nos rapports sont qualitatifs et ne se traduisent pas si facilement en données quantitatives. Malgré tout, nous sommes capables de comparer d'une année sur l'autre ; on peut déjà comparer le rapport d'une université par rapport à ce qu'il était il y a cinq ans. Des comparaisons sont donc possibles, et le fait d'avoir intégré l'Observatoire des sciences et techniques, qui a la capacité de produire des données à partir de texte - la bibliométrie, c'est son métier - laisse penser qu'on pourra dans quelque temps analyser nos rapports d'évaluation, et en extraire des données quantitatives. C'est un de nos projets.