Je reviens sur l'actionnariat salarié. C'est une logique qu'a poussée assez loin une entreprise du Lot-et-Garonne, De Sangosse, où l'actionnariat salarié appartient aux seuls salariés actifs : ceux qui la quittent doivent céder leurs parts. Mais c'est une logique qui trouve ses limites en période de croissance, lorsqu'il faut investir, car cela peut devenir un moyen de prédation pour un investisseur qui voudrait prendre le contrôle de l'entreprise. Avez-vous eu connaissance de telles difficultés et des propositions à faire pour y remédier ?