C'est vrai, mais la position des entreprises de croissance est très claire. Ce n'est pas une aide que nous demandons, c'est une baisse de charges, et qu'on nous laisse bosser.
Quant au débat sur la tracasserie administrative, je n'ai pas trop envie d'y entrer. On peut toujours améliorer la productivité de l'administration, mais je me méfie du « french bashing ». Pour nous, les priorités, ce sont le fléchage des investissements, dont on a besoin pour grandir, l'actionnariat salarié, parce qu'il faut rémunérer la prise de risques, et la création d'écosystèmes où les intérêts de l'investisseur, du chef d'entreprise et des salariés se rejoignent, grâce au partage de la valeur.