Il faut apporter des réponses dans l'urgence, ce qui n'est pas toujours facile, mais aussi penser au long terme. La première partie du traité transatlantique prévoit déjà l'arrivée de 65 000 tonnes de viande canadienne sur le marché européen ; si l'on signe avec les États-Unis, ce sera bien plus encore. La filière bovine française n'y survivra pas. Enfin, nous attendons toujours le classement du frelon asiatique en catégorie 1.